LYFtv-Photos: société

D'après une simple affichette collée à l'entrée de l’espace canin proche de la place Bellecour – un parc clos – situé quai Gailleton en face de la grande poste, plusieurs décès rapides de chiens auraient été constatés. On se demande du côté de la mairie centrale, que nous avons interrogée, si cette affichette est bien officielle. Les services mènent l’enquête avec diligence (source M. Godet / LYon-Saveurs.fr).
Mise à Jour le 23 août 2011 :  Contrairement à ce qu’insinuait cette affiche, il n’y a pas de serial-killer de toutous sévissant à Bellecour. C'est en tous cas ce qu'annonce l'hebdomadaire Tribune de Lyon : "le panonceau, déposé par un agent municipal trop zélé, reprenait la rumeur colportée par le voisinage depuis plusieurs semaines. Vérification faite, aucun chien n’est mort dans des conditions « suspectes »", explique le journal qui ajoute que la Ville de Lyon a mené des analyses du sol pour vérifier qu'aucun poison n'avait été déposé par une personne malveillante.

Ce mercredi 8 juin 2011, la place des Jacobins a vécu une activité inhabituelle, qui a mobilisé tous les spécialistes lyonnais de l’investigation. En cause, la découverte d’ossements lors de la réalisation de cavités sur la place pour la remise en place et en conformité des canalisations et autres réseaux, en vue de la prochaine restructuration de la place. 

Les débris, humains à première vue, vont être analysés afin de savoir s’il s’agit d’ossements provenant d’un cadavre récent ou encore de ceux provenant d’un ancien cimetière, comme le suggèrent des habitants du quartier, historiens par passion. En attendant, toutes les polices avaient bouclé l’endroit (Nationale, municipale et scientifique) pendant que des « archéologues » grattaient l’endroit.

Michel Godet, 

avec la participation de nos fins limiers de Lyon 2è

Étonnante réussite pour cette randonnée collective à travers la ville de Lyon... Plusieurs milliers de personnes ont participé le dimanche 17 avril 2011 à la visite de différents quartiers emblématiques de Lyon (La Confluence, les Berges du Rhône et ici la Presqu'île...).

"Si on veut développer l'usage des robots dans la vie quotidienne, avec des enfants ou des personnes âgées, il ne faut pas qu'ils en aient peur..." explique un concepteur. Des programmes de recherche travaillent sur le "toucher" et les interactions entre les robots et les humains. Des applications sont déjà développées avec des enfants autistes...