Jacques Beaume, depuis 2012 Procureur Général près de la Cour d'Appel de Lyon - Il dirige à ce titre un Palais de Justice entièrement rénové (lire ici) -
Jacques Truphemus, peintre de la lumière
0"Le fil conducteur, pour moi, c’est la lumière, la traduire par la couleur, trouver ce que peut donner un ton rompu, maîtriser le vocabulaire des chauds et des froids, voilà ma recherche. "
Jacques TRUPHEMUS, 1985
Avec les expositions "Jeux de paysage" durant l'été 2011 et "Les enfants terribles" dans le cadre de la Biennale d'Art Contemporain de Lyon, la salle du Plateau, dans les locaux du nouveau siège de la Région Rhône-Alpes - quartier de la Confluence - s'est déjà fait une jolie place dans le paysage culturel lyonnais. L'exposition des oeuvres de Jacques Truphemus, du 3 mars au 23 juin 2012, vient consacrer l'intérêt de cet espace ouvert au public du lundi au samedi de 10h à 19h.
JACQUES TRUPHEMUS, ELEMENTS BIOGRAPHIQUES
1922 - Naissance à Grenoble le 25 octobre.1934-1940 – Découvre le musée de Grenoble et rencontre le conservateur Andry-Farcy qui l’encourage à poursuivre la peinture.
1941-1946 – Etudes à l'école des Beaux-Arts de Lyon, où il a pour professeurs Chancrin, Laplace, Chartres et Vieilly. Il y rencontre André Cottavoz, Jean Fusaro, Philibert-Charrin, Hélène Mouriquand et Pierre Coquet. (avec un temps d'arrêt pendant la guerre puisqu'il est envoyé en STO - Service du Travail Obligatoire - en Allemagne).
1948 – Est nommé sociétaire du salon du Sud-Est à Lyon. Exposition collective à Lyon à la chapelle du lycée Ampère pour le salon du "Sanzisme" avec ses amis des Beaux-Arts (second salon du "Sanzisme" en 1949).
1950 - Mariage en décembre avec Aimée Laurens (originaire du Vigan, Cévennes).1955 - Rencontre le critique lyonnais Marius Mermillon.
1956 - Rencontre le docteur Jacques Miguet, qui le soutiendra grâce à de nombreuses expositions.
1957 - Prix de la Jeune peinture méditerranéenne à Nice.
1959 - Paris, contrat d'exclusivité avec la Galerie Romanet où il exposera jusqu'en 1968.
1961 - Première exposition à la Galerie Saint-Georges à Lyon, où il exposera ponctuellement jusqu’en 1988.
1964-66 - Voyage en Normandie, Nord de la France, Belgique et Pays-Bas .1970 - Voyage au Japon qui provoque un changement dans son travail.
1971 - Rencontre l’écrivain Louis Calaferte.
1972 - Exposition "Du Nord en Orient" au Musée-Château d’Annecy (70 peintures du Japon).
1974 – Parution de Croquis du Japon avec Notes de voyages de Marcel Gut, éd Verseau, Lausanne. Exposition à Paris à la galerie Kriegel.
1978 - Achat de deux toiles par le musée des Beaux-Arts de Lyon. Exposition à la Maison de Lyon.
1982 - Décore les salons du Restaurant Henry à Lyon avec huit peintures sur le thème de Lyon (oeuvres conservées aujourd’hui au musée Paul Dini).
1985 – Monographie aux Editions du Verseau à Lausanne / Bibliothèque des Arts à Paris.1986 - Rencontre le peintre Balthus. Exposition au Musée des Beaux-Arts de Lyon.
1989 - Rencontre le photographe Henri Cartier-Bresson.
1990 - Première exposition à la galerie Claude Bernard à Paris où il est depuis présenté régulièrement.
1992 - Exposition au Cloître Saint-André le Bas - musées de Vienne (Isère). Exposition au Salon de Mars de Paris pour la galerie Claude Bernard.
1994 - Exposition au Musée Hébert de la Tronche.
1998 - Exposition à la FIAC de Paris pour la galerie Claude Bernard.Le DVD du film de Georges Combes en vente sur LYon-Librairie.com |
2005 - exposition Jacques Truphémus, un peintre de l’intime au musée Paul-Dini, (Villefranche-sur-Saône).
2005 – film de George Combes Jacques Truphémus, les trois Lumières, coproduction France3 Rhône-Alpes, Auvergne et CLC Cinéma).
2006 - exposition Jacques Truphémus à livres ouverts, Lyon, Bibliothèque municipale.2006 - exposition Truphémus, Paris, galerie Claude Bernard.
2008 - exposition Jacques Truphémus, Châteauroux, couvent des Cordeliers.
2009 – inauguration de la place Jacques Truphémus, Mornant. Jacques Truphémus est nommé chevalier des Arts et lettres.
2009 - exposition Truphémus, Paris, galerie Claude Bernard.2010 - exposition Jacques Truphémus, paris, Art Paris (stand galerie Claude Bernard). Exposition Jacques Truphémus, musée de Bourgoin-Jallieu.
2011 – exposition Jacques Truphémus, galerie Claude Bernard, décembre Monographie éditée par RH éditions, Denis Lafay et Yves Bonnefoy.
Patrick Clert Girard
0Patrick Clert Girard est Président du "Cluster Lumière", un groupement d'environ 350 entreprises de la région Rhône-Alpes qui représentent 10.000 salariés. Très intéressé par le développement de la recherche et de l'innovation dans ce secteur particulier, le cluster participe activement à la Fête des lumières de Lyon. Parmi les innovations significatives développées ces dernières années, les Leds sont selon lui promis à un grand avenir : l'éclairage public évolue et les leds peuvent représenter une solution efficace pour la réduction de la consommation d'énergie tout en proposant de nouveaux services (changements de couleurs, réduction ou augmentation de l'intensité de la lumière...).
Autres innovations qui pourraient prochainement révolutionner le secteur de l'éclairage (et réduire considérablement les coûts de construction), la disparition des câbles électriques et l'éclairage en très basse tension . (A lire aussi sur LYon-Actualités : tous les détails de La fête de la lumière 2011 )
G.R.
Alexis Mabille
0Alexis Mabille est le parrain de la 7ème édition du Marché des Soies, à la Chambre de Commerce et d'Industrie, du 24 au 27 novembre 2011.
Ce jeune créateur de mode, né le 1er janvier 1978 à Lyon, est connu tant pour ses collections de haute couture que pour ses nœuds papillons, qui sont au fil du temps devenus sa signature. Avant de lancer ses propres collections, il a, entre autres, été le collaborateur d'Emmanuel Ungaro, Nina Ricci ou encore Christian Dior, chez qui il restera neuf ans. Alexis Mabille "élève l'accessoire au rang de l'indispensable détail", des bijoux de la ligne masculine Dior aux foulards et sacs "noeuds papillons".
En septembre 2010, il réalise pour Christophe de Quénetain une garniture de fauteuils exposée à la Biennale des antiquaires.
Considéré comme une nouvelle "étoile de la mode", il s'intéresse non seulement aux tissus rares mais aussi à d'autres matières comme la plume (une collection de doudounes en préparation)... Pour le Marché des soies 2011, il a réalisé un foulard collector, édité à seulement 400 exemplaires, vendu au profit de l'association "Art à l'hôpital".
Jacotte Brazier
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Jacqueline Brazier (dite Jacotte), est la fille de Gaston Brazier et petite fille d'Eugénie, la fameuse "mère" de la gastronomie lyonnaise. En 1971, elle intègre le célèbre restaurant de la rue Royale dont elle prend la direction en 1974 à la mort de son père et assure pendant trente ans l'héritage de sa grand-mère et de son père. Elle a participé activement à la réalisation de l'exposition du musée Gadagne sur la gastronomie lyonnaise -
Jean-François Mesplède
0Jean-François Mesplède est journaliste, écrivain, auteur de plusieurs livres de critique gastronomique. Il est membre de la commission scientifique de l'exposition sur l'histoire de la gastronomie lyonnaise, organisée par le Musée Gadagne (voir l'article "Lyon, capitale gourmande, un vrai délice!")
Stéphane Psomiadis, directeur du Pôle Confluence
0Le lyonnais Stéphane Psomiadis a été nommé directeur du pôle de Loisirs et de Commerce de Lyon Confluence. Présenté sur une page Facebook, ce vaste ensemble très attendu pour le grand nombre d'emplois créés, est situé face au siège du Conseil Régional Rhône-Alpes et sera accessible en bateaux "de type vaporetto". Il ouvre au 1er trimestre 2012 avec trois univers commerciaux différents : "l'univers du quotidien" : des services et commerces de proximité, la "Rue de la Mode" et un "univers du loisir et de la restauration" : 12 restaurants avec des concepts innovants et variés. La plupart disposeront d'une large terrasse panoramique offrant une vue surplombant le bassin nautique et la Saône.
Un directeur aux racines lyonnaises...
Un directeur aux racines lyonnaises...
Stéphane Psomiadis a grandi dans le quartier de Vaise... Après son baccalauréat, il intègre l’Université Lyon 3 puis l’Ecole Supérieure de Commerce CNAM à Paris. Depuis 7 ans au sein du Groupe Unibail-Rodamco, Stéphane Psomiadis retrouve aujourd’hui la ville de son enfance. Il accompagnera donc l’ouverture du Pôle de Loisirs et de Commerce et assure : « Notre ambition est de faire de Confluence un lieu de vie, une destination privilégiée au cœur du nouveau quartier de la Presque-Ile. » (Voir toutes les photos du quartier LYon-Confluence -
Gilles Vesco, Monsieur "transports doux"
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Ancien du MoDem, Gilles Vesco est devenu peu à peu le "monsieur déplacements doux" du Grand Lyon. Il a quitté en septembre 2011 la formation centriste pour rejoindre officiellement le Parti Socialiste et l'équipe de Gérard Collomb.
Adjoint au maire de Lyon et vice-président du Grand Lyon, Gilles Vesco est chargé des "nouvelles mobilités urbaines", ce qui en fait un personnage incontournable dans le domaine du transport : il est membre du bureau du Syndicat des Transports de l’Agglomération Lyonnaise (SYTRAL), administrateur de Lyon Parc Auto (LPA), chargé de la mise en place des petites voitures en autoservice, les Car2Go. Il suit aussi le dossier Autolib' et, bien sûr les Velo'v pour lesquels il revendique la paternité. Il rappelle régulièrement que "80 % de l’espace public est occupé par l’auto (en déplacement ou en stationnement) alors qu’elle ne représente que 45 % des déplacements dans le Grand Lyon et 36 % sur Lyon / Villeurbanne". Sa politique vise donc à diminuer progressivement l'utilisation de la voiuture individuelle, pour faire de l'automobile "non pas un bien mais un service"...
La voiture comme "service"
Pour lui il ne s'agit pas seulement d'un problème d’espace et de pollution, mais aussi d'accompagnement de l'évolution des styles de vie : il n’est plus possible de « privatiser » l’espace public avec des parkings comme avant. "Le nouveau paradigme, c’est le partage", assure-t-il. Et pour appuyer sa démonstration, il rappelle qu'on ne se déplace pas de la même façon - et on n'a pas besoin du même type de véhicule- pour aller chercher un meuble dans un magasin, organiser une promenade à la campagne avec ses vieux parents le week-end ou effectuer une course rapide en ville...
A chaque besoin, sa solution, il faut donc jouer sur la complémentarité des moyens de transport : la prochaine révolution devra être "l'intégration" des différentes cartes d'abonnement aux TCL, à Velo'v, Autolib', OùR.A, Rhônexpress, les TER ou Car2Go. Pour rendre un peu plus facile le passage entre les différents modes de transport.
Adjoint au maire de Lyon et vice-président du Grand Lyon, Gilles Vesco est chargé des "nouvelles mobilités urbaines", ce qui en fait un personnage incontournable dans le domaine du transport : il est membre du bureau du Syndicat des Transports de l’Agglomération Lyonnaise (SYTRAL), administrateur de Lyon Parc Auto (LPA), chargé de la mise en place des petites voitures en autoservice, les Car2Go. Il suit aussi le dossier Autolib' et, bien sûr les Velo'v pour lesquels il revendique la paternité. Il rappelle régulièrement que "80 % de l’espace public est occupé par l’auto (en déplacement ou en stationnement) alors qu’elle ne représente que 45 % des déplacements dans le Grand Lyon et 36 % sur Lyon / Villeurbanne". Sa politique vise donc à diminuer progressivement l'utilisation de la voiuture individuelle, pour faire de l'automobile "non pas un bien mais un service"...
La voiture comme "service"
Pour lui il ne s'agit pas seulement d'un problème d’espace et de pollution, mais aussi d'accompagnement de l'évolution des styles de vie : il n’est plus possible de « privatiser » l’espace public avec des parkings comme avant. "Le nouveau paradigme, c’est le partage", assure-t-il. Et pour appuyer sa démonstration, il rappelle qu'on ne se déplace pas de la même façon - et on n'a pas besoin du même type de véhicule- pour aller chercher un meuble dans un magasin, organiser une promenade à la campagne avec ses vieux parents le week-end ou effectuer une course rapide en ville...
A chaque besoin, sa solution, il faut donc jouer sur la complémentarité des moyens de transport : la prochaine révolution devra être "l'intégration" des différentes cartes d'abonnement aux TCL, à Velo'v, Autolib', OùR.A, Rhônexpress, les TER ou Car2Go. Pour rendre un peu plus facile le passage entre les différents modes de transport.
Serge Dorny, directeur de l'Opéra
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Serge Dorny est directeur général de l'Opéra de Lyon. Ce spécialiste d'histoire de l'Art, né en 1962 à Wevelgem en Belgique, a étudié l'archéologie puis la musique à Gand, avant d'intégrer le Théâtre de la Monnaie de Bruxelles puis le Festival des Flandres. Nommé directeur général et directeur artistique du London Philharmonic Orchestra en 1996, il a rejoint Lyon en 2003.
Si il n'a plus quitté la ville depuis, il s'est beaucoup impliqué pour favoriser l'accessibilité de l'Opéra à tous les publics (projet kaléidoscope) et la création de liens avec les autres institutions culturelles du Grand Lyon. Sa dernière réalisation est la création d' un portail de covoiturage sur internet pour favoriser l'accès à la culture des publics les plus éloignés.
Si il n'a plus quitté la ville depuis, il s'est beaucoup impliqué pour favoriser l'accessibilité de l'Opéra à tous les publics (projet kaléidoscope) et la création de liens avec les autres institutions culturelles du Grand Lyon. Sa dernière réalisation est la création d' un portail de covoiturage sur internet pour favoriser l'accès à la culture des publics les plus éloignés.
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